Notre lycée et son annexe de Saint-Didier-au Mont d’Or classés 3ème au palmarès Le Progrès des lycées généraux et technos du Rhône !
Bravo à toutes nos équipes (enseignantes, éducatives, pastorales) pour cette distinction.
Notre lycée et son annexe de Saint-Didier-au Mont d’Or classés 3ème au palmarès Le Progrès des lycées généraux et technos du Rhône !
Bravo à toutes nos équipes (enseignantes, éducatives, pastorales) pour cette distinction.
Ce jeudi 21 mars, dans le cadre de la FHR (Formation Humaine et religieuse) les élèves des classes de Seconde ont poursuivi leur circuit de découverte des lieux de cultes.
Après avoir visité, en novembre dernier, la Grande Synagogue de Lyon du quai Tilsitt et la Cathédrale St Jean dans le 5ème arrondissement de Lyon, ils se sont rendus cette fois-ci à Villeurbanne pour visiter le Temple Gudo-Ji cours Tolstoï et la Mosquée Errahma rue Songieu accompagnés de leurs animatrices en pastorale.
La plupart des élèves et des accompagnateurs n’avaient jamais eu l’occasion d’entrer dans ces lieux.
Les descriptions et les précieuses explications des guides ont permis à tous de comprendre le sens des objets, des symboles, des rites, des traditions de l’Islam et du Bouddhisme.
En classe, l’ensemble de ces visites sera mis en perspective avec toujours le même objectif recherché : comment mieux se connaitre, pour mieux se respecter et mieux vivre ensemble dans la Fraternité.
Article d’Adèle, élève de STMG, sélectionné dans le cadre d’un challenge de communication. Adèle a reçu le premier prix.
Nous sommes ravis de partager avec vous l’expérience vécue par nos étudiants en Terminale STMG lors de leur récente visite du site de production de Renault Trucks !
Nos élèves ont eu l’opportunité unique d’explorer les coulisses de l’un des leaders mondiaux de l’industrie automobile. De la conception à la production, ils ont plongé au cœur de la chaîne de fabrication, découvrant les étapes passionnantes de la création des moteurs des camions qui parcourent nos routes chaque jour.
Cette visite a offert à nos élèves une expérience pratique précieuse, complétant leurs connaissances académiques. En observant les processus de production complexes, ils ont pu mettre en pratique les concepts appris en classe de management tels que la production, la qualité, la supply chain et la sécurité au travail.
Nos élèves ont eu l’occasion d’être guidés durant cette visite par Benjamin VIALLARD, chef de Projet chez Renault Trucks. Ils ont pu échanger avec lui sur son parcours, mais également sur l’histoire, les défis et les réussites de Renault Trucks.
Les élèves rapportent avoir été ravis de cette visite inspirante et sont très reconnaissants envers Renault Trucks pour leur accueil chaleureux et envers leur professeure Aurélie THIZY pour l’organisation.
Restez connectés pour plus d’aventures éducatives et d’opportunités uniques pour nos élèves !
Dans le cadre de la préparation au sacrement, le mercredi 13 mars, les élèves qui se préparent à recevoir le sacrement de la confirmation ont vécu leur 4ème temps fort sur le thème de l’Esprit Saint.
Après avoir pris un moment pour partager sur ce que représente le Carême dans leur vie, un second temps de réflexion leur a été proposé sur le thème de l’Esprit Saint.
« Voici maintenant le moment favorable, le voici maintenant le jour du salut ! » (2 Co 6, 2).
C’est une phrase de l’apôtre Paul qui nous aide à découvrir le sens du Carême. Le Carême est un temps favorable pour revenir à l’essentiel, pour écarter de ma vie ce qui peut l’encombrer un peu et pour me rapprocher de Dieu. Parfois on peut avoir le sentiment que Dieu est loin ou que son Esprit est un peu éteint en nous (en cendres !). Revenir à l’essentiel.
C’est le temps adéquat pour mettre en pratique l’invitation faites par Dieu, par exemple en Joël : « Revenez à moi de tout votre coeur » (Jl 2, 12). Revenir à l’essentiel qui est le Seigneur.
Source : Le jour du Seigneur.
Le carême est une période très importante pour les chrétiens car il les prépare à la fête de Pâques. Son appellation vient du latin quadragesima, qui veut dire « quarantième ». Le carême commence donc le quarantième jour avant Pâques, soit le mercredi des Cendres, et dure logiquement quarante jours. Les dimanches et la mi-carême ne sont généralement pas comptés dans cette quarantaine.
Pour les chrétiens, cette période rappelle les 40 jours passés par Jésus au désert, au début de son ministère. Mais le nombre 40 est très souvent repris dans la Bible. Par exemple, le Déluge s’est déroulé en 40 jours ; Moïse a passé 40 jours et 40 nuits sur la montagne, dans la présence de Dieu qui lui a révélé les Tables de la Loi et la Torah. Il réfère aussi au nombre d’années passées par les Hébreux dans le Sinaï, à la sortie d’Égypte.
Enfin, il recouvre plusieurs symboliques. Par exemple, dans le cas de la traversée du désert, « quarante » symbolise ici une génération entière qui se renouvelle et atteint la terre promise par Dieu, délestée des péchés de la génération précédente. Il représente également le temps passé, pour l’enfant, dans le ventre maternel.
Le carême se déroule donc sur quarante jours et comprend quatre temps liturgiques importants : le mercredi des cendres (début), la mi-carême, les Rameaux et la Semaine sainte. Pendant toute la durée de ce temps liturgique, les ornements des prêtres sont de couleur violette.
Le dimanche des Rameaux est le premier jour de la Semaine sainte, qui conclut le temps du carême. Le sixième dimanche après le mercredi des Cendres (ou le dimanche précédant le dimanche de Pâques), les chrétiens fêtent l’entrée triomphale de Jésus à Jérusalem et commémorent la Passion du Christ. La célébration religieuse est marquée par la bénédiction des buis et par la lecture du texte de la Passion de Jésus. Le buis béni est souvent utilisé, pour les chrétiens, pour orner chez eux un crucifix, ou pour être déposé sur une tombe. Ce geste signifie leur foi dans la résurrection du Christ.
La Semaine sainte est l’axe central de l’année liturgique. Concluant les quarante jours du carême, elle commence le dimanche des Rameaux et s’achève la nuit de Pâques. Les chrétiens orthodoxes l’appellent la « Grande Semaine ».
– Le Mercredi saint, l’évêque réunit tous les prêtres de son diocèse à la cathédrale pour une célébration pendant laquelle ils renouvellent leurs voeux : c’est la messe chrismale ;
– Le Jeudi saint, les chrétiens célèbrent la Cène et se réunissent pour faire mémoire de l’Eucharistie et du geste du lavement des pieds par Jésus à ses disciples, ou geste du serviteur
– Le Vendredi saint est celui réservé à la Passion avec un office des ténèbres le matin et un chemin de croix à 15h.
– Le samedi, la veillée pascale est le point d’orgue et l’aboutissement du carême. La célébration s’ouvre par un feu auquel est allumé le Cierge pascal. La célébration commence dans le noir, bougies en main. Les fidèles écoutent de nombreux textes qui rappellent le parcours du peuple hébreu, de son Exode et de la fidélité de Dieu dans son histoire. Elle se conclut par les récits de la vie de Jésus jusqu’à sa résurrection.
Au cœur de la question du Carême, il y a la question morale : la question des commandements. On n’aime pas trop ce mot ! souvent on n’aime pas être « commandé » ! Ça ne nous plait pas. On ne se sent pas libre du coup ! Mais c’est quoi être libre ? Justement Dieu me veut libre ! Il faut juste bien comprendre de quoi il parle quand il parle de liberté.
C’est l’expérience que vont faire les hébreux. Si on refait l’histoire de Joseph jusqu’à Moïse. Pour Dieu la liberté c’est d’abord une expérience. Le peuple des hébreux à fait cette expérience, ce chemin : « Je suis le Seigneur ton Dieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte, de la maison d’esclavage » (Ex 20, 2).
Dans ce contexte les 10 commandements sont un chemin vers la liberté. Il s’agit d’un appel à la liberté. Il ne se réduit pas à un seul événement, car il mûrit au cours d’un cheminement.
De même qu’Israël dans le désert conserve encore en lui l’Égypte – en fait, il regrette souvent le passé et murmure contre le ciel et contre Moïse – de la même façon, aujourd’hui, le peuple de Dieu garde en lui des liens contraignants qu’il doit choisir d’abandonner. Nous nous en rendons compte lorsque nous manquons d’espérance et que nous errons dans la vie comme sur une lande désolée, sans terre promise vers laquelle tendre ensemble. Le Carême est le temps de la grâce durant lequel le désert redevient – comme l’annonce le prophète Osée – le lieu du premier amour (cf. Os 2, 16-17). Dieu éduque son peuple pour qu’il sorte de l’esclavage et expérimente le passage de la mort à la vie.
L’exode de l’esclavage vers la liberté n’est pas un chemin abstrait. Pour que notre Carême soit aussi concret, la première démarche est de vouloir voir la réalité.
Je voudrais souligner, dans le récit de l’Exode, un détail qui n’est pas sans importance : c’est Dieu qui voit, qui s’émeut et qui libère, ce n’est pas Israël qui le demande. Dieu ne s’est pas lassé de nous. Accueillons le Carême comme le temps fort durant lequel sa Parole s’adresse de nouveau à nous : « Je suis le Seigneur ton Dieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte, de la maison d’esclavage » (Ex 20, 2). C’est un temps de conversion, un temps de liberté. Jésus lui-même, comme nous le rappelons chaque année à l’occasion du premier dimanche de Carême, a été conduit par l’Esprit au désert pour être éprouvé dans sa liberté.
Pendant quarante jours, il est devant nous et avec nous : il est le Fils incarné.
Contrairement au Pharaon, Dieu ne veut pas des sujets, mais des fils. Le désert est l’espace dans lequel notre liberté peut mûrir en une décision personnelle de ne pas retomber dans l’esclavage. Pendant le Carême, nous trouvons de nouveaux critères de jugement et une communauté avec laquelle nous engager sur une route que nous n’avons jamais parcourue auparavant.
Cela implique une lutte : le livre de l’Exode et les tentations de Jésus dans le désert nous le disent clairement. À la voix de Dieu, qui dit : « Tu es mon Fils bien-aimé ; en toi, je trouve ma joie » (Mc 1, 11) et « Tu n’auras pas d’autres dieux en face de moi » (Ex 20, 3), s’opposent en effet les mensonges de l’ennemi. Les idoles sont plus redoutables que le Pharaon : nous pourrions les considérer comme sa voix en nous. Pouvoir tout faire, être reconnu par tous, avoir le dessus sur tout le monde : chaque être humain ressent en lui la séduction de ce mensonge. C’est une vieille habitude. Nous pouvons nous accrocher ainsi à l’argent, à certains projets, à des idées, à des objectifs, à notre position, à une tradition, voire à certaines personnes. Au lieu de nous faire avancer, elles nous paralyseront. Au lieu de nous rapprocher, elles nous opposeront. Mais il y a une nouvelle humanité, le peuple des petits et des humbles qui n’a pas succombé à l’attrait du mensonge. Alors que les idoles rendent muets, aveugles, sourds, ou immobiles ceux qui les servent (cf. Ps 114, 4), les pauvres en esprit sont immédiatement ouverts et prêts : une silencieuse force de bien qui guérit et soutient le monde.
Il est temps d’agir, et durant le Carême, agir c’est aussi s’arrêter. S’arrêter en prière, pour accueillir la Parole de Dieu, et s’arrêter comme le Samaritain, en présence du frère blessé. L’amour de Dieu et du prochain est un unique amour. Ne pas avoir d’autres dieux, c’est s’arrêter en présence de Dieu, devant la chair de son prochain. C’est pourquoi la prière, l’aumône et le jeûne ne sont pas trois exercices indépendants, mais un seul mouvement d’ouverture, de libération : finies les idoles qui nous alourdissent, finis les attachements qui nous emprisonnent. C’est alors que le coeur atrophié et isolé s’éveillera. Alors, ralentir et s’arrêter.
La dimension contemplative de la vie, que le Carême nous fera ainsi redécouvrir, mobilisera de nouvelles énergies.
En présence de Dieu, nous devenons des frères et des sœurs, nous percevons les autres avec une intensité nouvelle : au lieu de menaces et d’ennemis, nous trouvons des compagnons et des compagnes de route. C’est le rêve de Dieu, la terre promise vers laquelle nous tendons une fois sortis de l’esclavage. Dans la mesure où ce Carême sera un Carême de conversion, alors l’humanité égarée éprouvera un sursaut de créativité : l’aube d’une nouvelle espérance. Je voudrais vous dire, comme aux jeunes que j’ai rencontrés à Lisbonne l’été dernier : « Cherchez et risquez, cherchez et risquez. À ce tournant de l’histoire, les défis sont énormes, les gémissements douloureux. Nous assistons à une troisième guerre mondiale par morceaux. Prenons le risque de penser que nous ne sommes pas dans une agonie, mais au contraire dans un enfantement ; non pas à la fin, mais au début d’un grand spectacle. Il faut du courage pour penser cela ». C’est le courage de la conversion, de la délivrance de l’esclavage. La foi et la charité tiennent la main de cette « petite fille espérance ». Elles lui apprennent à marcher et elle, en même temps, les tire en avant. Je vous bénis tous ainsi que votre cheminement de Carême.
Inscrivez-vous via ce formulaire « Forms« aux différents temps proposés pendant le Carême (conférences, ateliers, célébrations, etc.) pour monter ensemble vers Pâques !
Je télécharge le flyer des propositions de ce « Carême 2024 ».
Voici les prochaines réunions d’information (sur Zoom), avec notre partenaire IPESUP, pour celles et ceux qui ne se sont pas encore inscrits mais qui voudraient en savoir davantage sur le stage ainsi que sur le test Cambridge® B2 :
Pour s’inscrire au stage Cambridge® B2 et bénéficier du « tarif partenaires », cliquez sur ce lien.
Je télécharge le planning de cours ici.
Voici les premières dates à noter :
Samedi 27 janvier, 36 lycéens du groupe scolaire, ont rejoint les 850 jeunes du diocèse de Lyon pour vivre ensemble la journée d’appel à la confirmation.
Les jeunes du Lycée Chevreul Lestonnac et Chevreul Saint Didier ont eu la joie de vivre une journée riche en temps de partages et en témoignages, entourés des prêtres accompagnateurs et en présence de Mgr. de Germay.
Nous avons eu la chance de partager une messe d’appel à la confirmation d’une qualité exceptionnelle. La cathédrale Saint-Jean, réservée à cette occasion, n’était pas assez grande pour accueillir autant de participants.
Cette magnifique journée avec nos lycéens s’est terminée par un temps fraternel au restaurant le Flam’s.
De très beaux moments forts en émotions !
Alléluia !
Vendredi 26 janvier, trois élèves de 1ère ST2S, accompagnés de Madame Bergeron, animatrice en pastorale, ont apporté une quinzaine de sacs de dons à l’Accueil de jour Saint-André.
L’Accueil de jour Saint-André est un lieu d’accueil et de convivialité, proposant une réponse aux besoins fondamentaux et des actions d’orientation et/ou d’accompagnement pour les femmes seules et les familles en situation d’exclusion, d’errance et de grande précarité.
Ce projet, initié par la paroisse catholique de la Guillotière, est co-porté par Le Foyer Notre-Dame des sans-abris, les associations des Conférences Saint Vincent-de-Paul, Magdalena et AMPAC (Accueil Migrants Paroisse Antoine Chevrier) avec le soutien de la Fondation Saint-Irénée.
Au début de l’Avent, l’accueil Saint-André a lancé un appel aux dons lors de la messe dominicale de l’église Saint Michel. Le Groupe scolaire Chevreul Lestonnac a répondu présent pour une collecte de biens de première nécessité : couvertures, produits d’hygiène et vêtements pour femmes et enfants.
En lien avec la pastorale de l’établissement, Madame Pelosse et ses élèves de 1ere ST2S ont lancé une campagne de communication au lycée et au collège. Ils ont ensuite collecté les dons de nos élèves et de leurs familles pendant toute la période de l’Avent et le jour du marché de Noël du pôle 7.
Pour ne pas perturber la discrétion des lieux, c’est en petit comité que la remise des sacs de dons a eu lieu ce 26 janvier. Quelques élèves de 6ème du collège Lestonnac avaient gentiment apporté leur aide pour charger la voiture. Les lycéens ont pu visiter les locaux, rencontrer des bénévoles et quelques bénéficiaires venues se reposer.
L’Accueil Saint-André remercie grandement le groupe scolaire Chevreul Lestonnac pour sa générosité et sa charité.
Merci également à Cléo Pelosse, Marie-Anne Bergeron et les élèves de 1ère ST2S qui se sont investis avec cœur pour cette belle action de solidarité !
Informations Accueil Saint-André :
Adresse : 2 Rue Felissent – 69007 LYON
Jours et Horaires d’ouverture : le mercredi, le jeudi et le vendredi de 13h30 à 16h30. (fermeture les jours fériés).
Pour participer à l’événement, une inscription est obligatoire sur des créneaux de visite et d’entretien avec l’équipe de professeurs. Merci de choisir un des 3 créneaux de visite en cliquant ici ou sur l’image.